Initiation au Stand-up paddle
JEUDI 3 JUILLET 2014
A 16 minutes de la station Châtelet-les-Halles (ou à vélo depuis Paris en traversant le bois de Vincennes) il existe un coin de paradis.
Un éden où vous pouvez glisser debout sur le plan d’eau, emprunter le canal de Polangis, faire le tour de notre ile FANAC sans voitures.
Et vous pouvez maintenant essayer et pratiquer ce sport sans avoir besoin de prendre votre voiture pour aller à la mer
Le Stand Up Paddle est le sport qui monte, depuis Hawai'i jusqu’à la course mythique sur la Seine en passant par l’Australie.
A 16 minutes de la station Châtelet-les-Halles (ou à vélo depuis Paris en traversant le bois de Vincennes) il existe un coin de paradis.
Un éden où vous pouvez glisser debout sur le plan d’eau, emprunter le canal de Polangis, faire le tour de notre ile FANAC sans voitures.
Et vous pouvez maintenant essayer et pratiquer ce sport sans avoir besoin de prendre votre voiture pour aller à la mer
Le Stand Up Paddle est le sport qui monte, depuis Hawai'i jusqu’à la course mythique sur la Seine en passant par l’Australie.
Initiation au Stand-up paddle pour le grand public de 14h à 18h.
Initiation est d'une durée de 20 min.
Initiation est d'une durée de 20 min.
Conditions:
Prendre vêtements de rechange au cas où… Tarif: 10 € par participant |
Lieu:
Joinville-le-Pont Sur les bords de la Marne, célèbre pour ses guinguettes, son histoire et ses sports de pagaie et d'aviron.. Métro-RER : Joinville-le-Pont, ligne A ou en Vélib et le laisser à la station RER Rendez-vous à L'Auberge slave à 4 mn à pied de la station Réservations: Inscription toute les demi-heures de 14h à 17h30 sur [email protected] |
Qu'est-ce que le Stand-up paddle ?
Le Stand-up paddle est l'ancêtre du surf moderne. Il était pratiqué par les rois polynésiens qui taillaient d'immenses planches dans des troncs d'arbres, mais il a très vite été dépassé par l'arrivée des planches courtes. Il revient en 2004, à Hawaï, lors d'une compétition de surf. Depuis lors cette discipline ne cesse de se développer.
Ce sport consiste à se tenir debout sur une planche plus large et plus longue qu'une planche de surf classique tout en se déplaçant à l'aide d'une pagaie.
Le Stand-up paddle est l'ancêtre du surf moderne. Il était pratiqué par les rois polynésiens qui taillaient d'immenses planches dans des troncs d'arbres, mais il a très vite été dépassé par l'arrivée des planches courtes. Il revient en 2004, à Hawaï, lors d'une compétition de surf. Depuis lors cette discipline ne cesse de se développer.
Ce sport consiste à se tenir debout sur une planche plus large et plus longue qu'une planche de surf classique tout en se déplaçant à l'aide d'une pagaie.
Histoire du Surf:
Dans cet archipel du Pacifique sud, glisser sur les vagues est plus qu’un sport, c’est une pratique déterminante pour l’organisation de la communauté sur les îles. La société hawaïenne était organisée par un système de castes. Les protocoles se retrouvaient dans la pratique du surf : seul les chefs ali’i avaient le droit de surfer sur des longues planches de bois, appelées Papa-he-nalu, ils étaient accompagnés lors de leur mise a l’eau par des chanteurs. Il y avait même des épreuves infligées aux postulants au trône. En 1778, l’explorateur James Cook jette l’ancre dans la baie de Kealakekua, aux Îles Sandwich (Hawaii). Il aperçoit alors des indigènes chevauchant les vagues sur de longues planches de bois. Celles-ci, appelées Papa-he-nalu, sont taillées dans un tronc d’arbre selon un rituel. Au XIXe siècle, la colonisation des îles d’Hawaii s’amorce. Les missionnaires américains, choqués par la quasi-nudité des autochtones sur leurs planches, interdisent la pratique de ce sport. Quelques insoumis continuent toutefois de glisser sur les vagues, perpétuant la technique.
Mais il faut attendre le début du XXe siècle pour qu’un hawaiien, du nom de Duke Kahanamoku, remette le surf au goût du jour. Champion olympique, il devient l'ambassadeur du surf en faisant découvrir sa pratique sur les côtes américaines, en Australie et dans le monde entier lors d'exhibitions. Le surf se répand alors en Australie et aux États-unis. La jeunesse du moment s’approprie les codes du surf et en fait un véritable art de vivre. Le marketing s’empare du surf. Mais les bases restent intactes : la recherche de la vague parfaite est dans la tête de tous les surfeurs. La glisse est leur priorité, dans le respect de la nature et de l’océan. Le surf est fidèle à ses origines.
Dans cet archipel du Pacifique sud, glisser sur les vagues est plus qu’un sport, c’est une pratique déterminante pour l’organisation de la communauté sur les îles. La société hawaïenne était organisée par un système de castes. Les protocoles se retrouvaient dans la pratique du surf : seul les chefs ali’i avaient le droit de surfer sur des longues planches de bois, appelées Papa-he-nalu, ils étaient accompagnés lors de leur mise a l’eau par des chanteurs. Il y avait même des épreuves infligées aux postulants au trône. En 1778, l’explorateur James Cook jette l’ancre dans la baie de Kealakekua, aux Îles Sandwich (Hawaii). Il aperçoit alors des indigènes chevauchant les vagues sur de longues planches de bois. Celles-ci, appelées Papa-he-nalu, sont taillées dans un tronc d’arbre selon un rituel. Au XIXe siècle, la colonisation des îles d’Hawaii s’amorce. Les missionnaires américains, choqués par la quasi-nudité des autochtones sur leurs planches, interdisent la pratique de ce sport. Quelques insoumis continuent toutefois de glisser sur les vagues, perpétuant la technique.
Mais il faut attendre le début du XXe siècle pour qu’un hawaiien, du nom de Duke Kahanamoku, remette le surf au goût du jour. Champion olympique, il devient l'ambassadeur du surf en faisant découvrir sa pratique sur les côtes américaines, en Australie et dans le monde entier lors d'exhibitions. Le surf se répand alors en Australie et aux États-unis. La jeunesse du moment s’approprie les codes du surf et en fait un véritable art de vivre. Le marketing s’empare du surf. Mais les bases restent intactes : la recherche de la vague parfaite est dans la tête de tous les surfeurs. La glisse est leur priorité, dans le respect de la nature et de l’océan. Le surf est fidèle à ses origines.